Stalker "Shadow of Chernobyl"

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Chernobyl ... contrairement à ce que l'on peut croire se n'est pas la que se trouve les ... "réponses" ...

C:/_
C:/_confidential/chernobyl>0548/history/2012
2012 > Chernobyl >> second incident ... pas de réponse ... pas de survivant ... pas humains en tout cas ...
>> L'armée cadrille la zone et la nettoie de toutes les formes de vies qu'elle rencontre ...
>> Seulement 5% des hommes envoyés là bas vont revenir avant d'être exécutés ...
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C:/_confidential/chernobyl>0548/history/2013
2013 > Chernobyl >> Zone fermée ...
C:/_
C:/_confidential/chernobyl>0548/history/2014/2023?
2014/2023?> ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... no match found ... ... ... ... ... ... ............................................
C:/_
C:/_confidential/chernobyl>0548/history/2024
2024> ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... match found ... ... ... ...
http://www.neufstream.com/swf/7Ec51rPUhdmb16C1H
C:/_format
... ... ... ... ... ... enter CD exploitation ... ... ... ... ... ...


>Un camion qui roule à vive allure le long d'une petite route dans la "zone"...
>A son bord ... vous ... vous vous évanouissez ...
>Le camion sort de la route ...
>Quelqu'un vient vous chercher ...
>vous avez perdu toutes vos réponses ...
>vous avez un tatouage sur le bras ... S.T.A.L.K.E.R. ...


Votre sauveur

>Umph !!! Putain ... Qu'est-ce qui c'est passé ? Ou est-ce que je suis ? ...
>En sécurité.
>Hein !!! Mais qui est-vous ???

C'est ainsi que commence votre immersion dans STALKER "Shadow of Chernobyl". Vous avez un accident, on vous sauve, vous êtes amnésique et vous n'avez pour unique indication qu'un tatouage sur le bras : "S.T.A.L.K.E.R.". Rien de bien original donc pour commencer cette histoire mais la suite promet d'être plus interessante ...
Votre "gentil" sauveur demande à être payé le radin!!!
Il vous faudra donc exécuter quelques quètes pour le rembourser. Et comme notre sauveur est très généreux il vous donne un couteau et des rations qu'il faudra bien sur lui remboursées ... vous partez donc pour la "zone" ...

Alors qu'en est-il de la "Zone" ? Ben a part des militaires pas contents des stalkers et des "anomalies plus ou moin humaine" ainsi que la présences d'un "monolith" rien n'a changé !!!
L'on pourra se déplacer librement dans la région de Chernobyl ( la centrale nucléaire, sa campagne, sa gare de triage, et surtout sa ville, ... ) qui sera divisée en dix maps.
Pour passer d'une map à l'autre il faudra passer par des points clefs ( points clefs = emmerdes = trouver beaucoup de munitions ).

Les décors et l'ambiances ainsi que la qualité graphique devraient ce rapprocher fortement de Half-Life 2 à l'exeption que les décors sont ouverts.

Encore une fois on peut se rapprocher de Half-life 2 avec une gestion de la physique poussée ( et quoi qu'en dise les mauvaises langues le moteur de Valve est excélant !!! ) mais qui prend beaucoup plus de facteurs en compte ( vent, matière du sol, ... ).

Mais là ou se démarque réelement S.T.A.L.K.E.R. c'est par sa gestion de la lumière, des particules et des explosions ...





Le jeu en lui même ne peu être qualifié de FPS ou de RPG, il est donc quelque part entre les deux.
>En effet c'est bien un jeu de shoot mais cette foi il faudra faire attention à sa position et non pas à ses mouvements ... en plus vous aurez comme dans les RPG un inventaire complex à gérer avec les armes, les munitions, les gadjets et arctefacs, la nourriture ( qu'il faudra prendre de façon periodique sous peine d'être moin précit et rapide, voire d'entrainer la mort ... ), et les médicaments ( ne pas se soigner peut entrainer des émoragies, infections, ... ). En fonction des objets récupérés l'apparence vestimentaire voire physique du personnage change. Par contre pas moyen d'augmenter sa masse musculaire, son apnée, sa résistance aux balles, ... seul certains artefacs aurons la capacité de vous rendre plus résistant aux radiations et aux divers "anomalies".
>Ce n'est pas un FPS non plus car le joueur n'est pas constaement en train de tirer sur tout se qui bouge jusqu'à ce que plus rien ne bouge. Non S.T.AL.K.E.R. ne fait pas partie de ces jeux là.
S.T.AL.K.E.R. fait partie de ces jeux où chaque balle est plus précieuse que n'importe qui, où chaque fois que vous rencontrer un bête ennemie vous fuirez plutôt que de tenter de vaincre ... Et oui les bourrins devrons apprendre que le fusil à pompe c'est pas forcément un bon réflexe face à des bébêtes auxquelles il faut plus de cinq chargeurs de AK-47.


Ca c'est la routine trois chargeurs et c'est bon ...


Vous en fait pas c'est just un poulpe nucléaire ... compter au moin cinq chargeurs ...

Jeu enquoissant, atmosphère clauque, décors lugure, je sen que je vais aimer ce jeu
Bonne iniciatif AL5, je contais le faire, mais tu ma devancé !

Présentation complémentaire : c'est un FPS, pour les noobs, c un jeu de tire à la première personne. Le scénario : en gros, on est un soldat envoyé sur la zone de la catastrophe (de chernobyl pour ce qui était chriogénisé depuis 5 siècles )pour faire des recherche. Mais le coin est infesté de monstres mutants carnivores dangereux, et parfois invisibles. Dans les environs de l'usine, donc dans la ville est les campagnes, diverses groupes opèrent à des fins pas toujours très ludiques : les uns vénère un artéfact inconnu qui serait responsable des mutation des bébêtes du coin, d'autres veulent justes piller ces artéfacts... En gros, c le merdié dans l'enfer ! PASSER MOI MA SULFATEUSE !!!

image tiré de Unreal Tournament (je vous en reparlerai surement)

Malgrés que la zone soit plus que surpeuplée par toutes sortes de bestioles en plus des militaires ne vous attendez pas à rencontrez beaucoup de pnj amicaux. On trouvera toutefois à plusieurs reprises des marchant et des pnj en mission et quelques S.T.A.L.K.E.R.S au coin d'un feu dans un ex réservoir nucléaire ...



L'inventaire, comme expliquer au-dessus, dispose de place limité pour stocké tout votre merdier. Toutefois si on ne prend ni objets, ni nourriture ni kit de soin on doit pouvoir stoker un maximum d'arme et de munitions !!! huhuhuhu...



Sinon S.T.A.L.K.E.R. se joue comme un FPS ( charge, alligne, allume, recharge, alligne, allume, ... ).

Ah bon ?! C'est aussi un RPG (en partie) ?! C'est pas mal non plus. Par contre, niveau config du pc, je risque dêtre limite...

P.S. : Je viens de voir sur clubic qu'une nouvelle vidéo était sortie. Vous pouvez la télécharger (c'est la numéro 13) ainsi que les autres ici.
Et si vous voulez d'avantages d'infos sur les personnages et autres monstres, ainsi que sur l'équipements (dans la section ''zone world''), aller faire un tour sur le site du développeur.

P.S.2 : Stalker vient de passer en version Gold, voilà mes sources.

S.T.A.L.K.E.R sort bientôt !!! Vous pouvez dès à présent le réserver à la fnac en édition collector (500 exemplaires) ou à score games.

Voilà une autre pluie de screen, ici
Le jeu est censé sortir dans 19 jours. Les développeurs de Stalker indiquent (dans la source que j'ai donné plus haut) une possible suite , bien que se ne soit qu'une rumeur.

Article récupéré sur : http://www.jeuxvideopc.com/test/7738-stalker-shadow-of-chernobyl.php

On m’appelle le Tatoué

Le message est passé de bouche à oreille entre les gars du Devoir : le Barman veut me voir car il a des infos importantes à me transmettre en personne. Pas vraiment le genre de gars à qui faire confiance, le Barman… Mais bon, en tant que tenancier du seul bar de toute la Zone, on peut être sûr que si un gars a des infos fiables, ce sera lui. Cela dit, cet élan de générosité de sa part est assez inhabituel. Il doit avoir quelque chose derrière la tête… Quoiqu’il en soit, il semble que je doive me rendre au Bar. Impossible de couper par la décharge - bien trop radioactive -, il va sûrement falloir que je contourne la vieille usine. Le problème, c’est que les bandits qui l’habitent n’hésiteront pas une seconde pour me placer une balle entre les deux yeux et me voler mes artefacts, histoire de se payer à manger… Finalement, la vieille usine est déserte, les gars du devoir ont dû éliminer les pilleurs qui y vivaient. Leurs corps trainent encore ça et là, et les meutes de chiens errants n’ont pas attendu pour s’en faire un festin. Partout, ça sent la mort et la peur. Ça sent l’envie de vivre. Et les hommes comme les bêtes sont ici réduits à ne penser qu’à eux. S’entourer d’un clan, ça n’est pas servir une cause, quoi que puissent en dire les têtes pensantes des divers clans de la Zone. S’entourer, c’est un moyen de survivre, un moyen de laisser d’autres tomber à sa place… Mais voilà que j’ai pensé trop longtemps. L’un des membres du devoir, gravement blessé, est encore en vie, il m’a vu. T’as beau crier, l’ami, je ne viendrai pas t’aider : ça me couterait trop de balles, et tu sais bien comme elles sont précieuses. On m’appelle le Tatoué, et tout ce que je veux, c’est vivre assez longtemps pour tuer Sterlok… toi, pour un temps, tu vas distraire les chiens.

Indéniablement, S.T.A.L.K.E.R. verse dans le registre post-apocalyptique. L’univers du jeu, la Zone, n’est autre que le périmètre de sécurité qui a été instauré autour de la centrale de Tchernobyl suite à l’explosion du réacteur numéro 4, le 26 avril 1986. La topographie du jeu est l’exacte copie de la réalité, mais l’ambiance, déjà pas bien gaie à l’origine (voir notre présentation), s’est vue une nouvelle fois plombée par une seconde explosion du dit réacteur en l’an 2012. Le Tatoué, héros de ce S.T.A.L.K.E.R., n’aura pour seuls horizons que la rouille, les ruines et le chiendent dopé aux radiations nucléaires. Le fait de se retrouver enfermé dans un no man’s land existant pèse sur le joueur. L’ambiance est lourde, étouffante, désespérante et terriblement prenante.

Le scénario en lui-même débute par un topo classique, vu et revu maintes fois : le Tatoué, après avoir été laissé pour mort, se réveille amnésique. Seule bribe de son passé à laquelle se raccrocher, un lapidaire message trainant sur son PDA : « Tuer Sterlok ». Avant d’envoyer ce sympathique inconnu à la tombe, il va falloir le trouver parmi toute la foule des stalkers (nom désignant un habitant de la Zone). La narration, dénouée à quelques points clefs sous forme de souvenirs, est bien amenée. L’univers et l’intrigue sont suffisamment riches pour donner envie au joueur d’aller chercher le fin mot de l’histoire, et c’est bien là l’essentiel.

Assurer l’essentiel

Le FPS est actuellement le genre le plus enclin à servir de vitrine technologique pour nos chers PC. Full 3D, effets de lumière en temps réel, distorsions multiples, modèles physique de pointe… : ce n’est pas vraiment un hasard si les benchmarks de cartes graphiques et de processeurs sont réalisés sur de tels jeux, réputés à juste titre gourmands en ressources. Si les joueurs d’aventure s’attachent au fond avant de s’attarder sur la forme, les joueurs de FPS adoptent en général l’attitude inverse. A ce titre, sortir un jeu de tir à la première personne en retard, c’est souvent le condamner à être obsolète dès son apparition dans les bacs.

S.T.A.L.K.E.R. est de ces softs à avoir été repoussé de nombreuses reprises (un temps, on le pensait d’ailleurs abandonné). Autant mettre fin au suspense tout de suite : le graphisme est honnête. Il n’est certes pas optimisé pour DirectX 10 et se prive de pas mal d’effets visuels aujourd’hui presque inévitables, mais la modélisation et l’harmonie de couleurs sont telles que le joueur n’en souffrira pas un seul instant. Reste que S.T.A.L.K.E.R. est du genre gourmand, et que pour vous offrir un total confort de jeu, il vous faudra une machine puissante, si possible dépourvue de carte graphique estampillée ATI, car le moteur les supporte mal. Pour vous donner une idée, nous avons testé le jeu sur trois machines disposant de ces cartes, et avons toujours eu droit à des plantages inopinés avec retour sous Windows, certes pas trop fréquents (toute les deux-trois heures environ), mais toujours désagréables.

Tant que nous en sommes à parler des sujets qui fâchent, signalons qu’au cours du jeu, il arrive lors d’une escorte que le personnage qui vous accompagne se plante au milieu du chemin pour ne plus en sortir. Il faut pour y remédier sauvegarder et recharger la partie pour qu’il daigne repartir en petites foulées. A l’occasion, nous avons vu à travers un mur ou un plafond la lumière de lampes frontales de certains ennemis, ou de vilains clipping de texture. Ce n’est certes pas aussi gênant qu’un retour Windows, mais ça laisse quand même un arrière goût d’inachevé. Cela dit, ces détails seront sûrement corrigés dans de prochains patchs et n’affectent en aucun cas le fond du jeu.

Chose heureuse pour un FPS, la balistique et l’IA sont de bonne facture et donnent tout leur intérêt aux combats. C’est un exemple tout bête, mais si un ennemi vous voit à un certain endroit et que vous filez à l’anglaise, il continuera de vous chercher dans le coin, à moins que vous ne trahissiez votre position. Chaque type d’ennemis a sa façon de combattre : les stalkers n’hésiteront pas à se replier, se cacher ou appeler du renfort, les mutants fonceront tête baissée, tandis que les chiens ne vous attaqueront qu’en meute. Même si on la joue plus sniper que Rambo, les affrontements sont denses, surtout en début de partie où vos armes sont peu précises. Gros point positif pour l’aspect central du jeu, donc, qui vous demandera en plus de compter vos balles, n’en déplaise à ceux qui aiment à vider un chargeur par ennemi. Dans S.T.A.L.K.E.R., il va falloir capitaliser, et essayer de toujours tuer un adversaire avec moins de balles qu’il n’en porte sur lui. Vous pourrez ainsi vous accorder quelques instants de bravoure où il sera possible de tirer sans compter.

Aller un peu plus loin

L’une des principales forces de S.T.A.L.K.E.R. est d’introduire dans un jeu de shoot un léger aspect RPG. Etre un stalker c’est être condamné à survivre dans un milieu hostile. Et pour y parvenir, il vous faudra des balles, des kits de soin et des armes. Autant dire que les cadavres de vos ennemis seront vos mines d’or, mais il faudra être sélectif dans le choix de vos trésors, car votre inventaire est limité en place et en poids, à la manière d’un Oblivion.

Dans le microcosme de la Zone, vous pourrez vous lier, en accomplissant des quêtes, à certaines factions, mais il va de soi que si vous aidez les gars du devoir à éradiquer un camp de la Liberté, ces derniers ne vont pas vous ouvrir grandes leurs portes. La trame principale du jeu est assez dirigiste et se resserre autour de quelques lieux inévitables, le reste de votre destin vous appartient. Libre à vous de réaliser des quêtes secondaires ou d’explorer le monde par simple curiosité, car contrairement à nombre de FPS, S.T.A.L.K.E.R. n’est pas linéaire. Dirigiste certes, mais pas linéaire.

Allez où vous le souhaitez, parlez à qui vous chante, aidez les personnes qui payent bien. L’univers n’est pas comparable à un RPG bien entendu, mais on retrouve certaines ficelles qui ont fait des joueurs des aventuriers dans l’âme. Ça parait tout bête comme ça, mais beaucoup de régions sont rendues inaccessibles par trop de radiations. Le jour où vous trouvez une combinaison nucléaire, elles vous deviendront accessibles, et vos horizons s’élargiront. C’est un détail, mais il a son charme, et souligne bien le plaisir que peut procurer la – relative – liberté du titre. Pourquoi relative ? Car la zone est séparée en régions, et que pour passer d’une région à l’autre il faut impérativement emprunter des routes précises.

Ces inspirations RPG mettent clairement en valeur le travail qu’a fourni l’équipe de développement de GSC pour ne pas faire de son univers un simple décor, mais bien un monde. Si les guerres de clan – auxquelles le joueur peut prendre part - respirent la propagande le complot et l’égoïsme, la quête de Sterlok, elle, vous entraînera dans des ambiances nettement plus horrifiques, étranges et stressantes. Ce changement de climat, scénaristiquement amené par petites touches, est excellent pour soutenir et redonner du souffle à l’action. D’ailleurs, les quêtes secondaires semblent plus destinées à repousser dans le temps la plongée en enfer du joueur, car bien souvent il s’agit pour vous d’aider telle ou telle personne. Mais ces missions ont toutes une portée à court terme. Faire les choses jusqu’au bout et créer de réelles trames secondaires auraient été un plus, mais, après tout, il est déjà rare d’avoir une telle liberté dans un FPS, alors ne crachons pas dans la soupe - surtout quand elle est bonne. Quoiqu’il en soit, la durée de vie du soft s’en trouve rallongée, et s’il vous faudra environ quinze heures pour voir l’une des fins possibles de la quête principale, on peut facilement en compter le double pour qui prendra la peine d’explorer l’univers de S.T.A.L.K.E.R.

LE TRUC BIEN CHIANT !!!!

Petites IMG qui font soit flipper, soit sont zarb ...

C'est vrai ke c'est con de plus avoir de munis dans ce genre de situation.

Les seules situations qui me feraient flipper, c'est celles avec les monsters qui peuvent devenir invisible !